» Parce que le poème voudrait être mouvement, regard, main, chair,.retrouver le temps du vivant. Parce que toute création se nourrit du souvenir d’avoir été parole silencieuse ondulant au creux du ventre maternel « (C.Adolfini)
RENCONTRE DU 18/02/23 MÉDIATHÈQUE DE BASTIA Présentation des Cloisons souples lecture d’extraits et traduction en langue des signes avec Annie Flori et Catherine Getten-Medori
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