Ça commence toujours par le silence
un souffle court, un pli entre les fronts qui n’est pas une rive.
Les mots sont en retard, comme les regrets, comme les étoiles comme les reflets,
nos mains qui ont respiré l’eau le savent et remuent le mirage de ce qui disparaît.
(Inédit tous droits réservés Carine Adolfini)
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