Naître est un exil
Nomade dans le temps avec ma voix pour finir il faut porter des deux cotés sa vie fragile comme un matin dans une amphore d’argile… Photo Claude Giannini In Images Latentes.
Nomade dans le temps avec ma voix pour finir il faut porter des deux cotés sa vie fragile comme un matin dans une amphore d’argile… Photo Claude Giannini In Images Latentes.
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Le poème qui mêle ici les bouts de vie d’un village aux échos des absents, creuse un nouveau chemin semé d’empreintes et invite à une marche à demi-pas sur l’évanescence du temps.
« Que dire quand les souvenirs traversent les pierres, bousculent l’instant ? Que dire de cette lumière pure glissée sous la vieille porte qui recommence le lieu ? »
« C’est juste un peu de lointain tremblé d’élans ratés, un sous bruit de bleuet à peine frôlant voix, presque rien retenu dans son unique chance de surface. »
« Jadis ici sans entretoise »
https://www.youtube.com/watch?v=l9KJWkVegrQ
poème lu extrait en images Les cloisons souples
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